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Coaches certifiés, qui êtes-vous?

Coachs certifiés qui êtes-vous ?

certifié Je développe une allergie grandissante à la vue du nombre croissant de coach « certifiés » qui apparaissent et perturbent la lisibilité d’une profession qui a besoin de clarification notamment vis à vis de son public potentiel : les entreprises, les particuliers, les hommes et les femmes qui désirent se mettre en mouvement vers un objectif qu’ils se choisiront dans un processus exigeant et contractualisé dont le « coach » est garant.
Ce constat fait écho à un lointain souvenir de mon adolescence, époque bénie pour certains professionnels, où il se remplaçait plus de pare-brise d’autos que l’industrie verrière n’en produisait !
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Si seulement ça pouvait être une réalité

Si seulement ça pouvait être une réalité

J’ai croisé, ce matin, cette image suivie de ce commentaire : « si seulement ça pouvait être une réalité !… »

 

Si ça pouvait être une réalité? …

Finalement, quelle est la différence entre un rêve (un espoir, une utopie…) et une réalité?

Finalement, « l’utopie ne signifie pas l’irréalisable, mais l’irréalisé. L’utopie d’hier peut devenir la réalité » (Théodore Monod)

Finalement, une réalité, c’est une volonté, suivie d’une décision, suivie d’une mise en action

Les gros poissons jouent sur la division des petits… C’est leur intérêt, évident dès lors que l’on prend un peu de hauteur pour analyser la situation de façon globale. Libre à chacun de les croire, de rester seul en croyant à un petit profit personnel immédiat, ou de se bouger pour réussir ensemble… de se mettre en action vers un réel partage, une mise en action collaborative, qui aura l’avantage de conserver la mobilité et la réactivité des petits acteurs, tout en ayant la capacité d’action coordonnée des gros… (Voir mon article « comme des poissons dans l’eau« )

 

Loin d’être une utopie, ce type d’action est en marche dans différents secteurs. C’est la raison d’être de Coach-Manager qui réunit autour de partenariats basés sur un partage constructif des coachs certifiés, des managers confirmés, et des experts dans des domaines spécifiques permettant une action rapide et coordonnée sur tout le territoire national.

Ce genre de démarche de co-construction demande du travail à la mise en place,  une réelle coordination, et donc un accompagnement adapté, mais révèle ensuite ses atouts de façon exponentielle. Cette démarche, nous la pratiquons pour nous au quotidien, et en faisons bénéficier nos clients.

Libre à chacun de mettre en œuvre une démarche d’action, ou de se lamenter sur l’impossibilité de réaliser un rêve, qui n’a pour avantage que de permettre de ne rien faire (bien que pleurer…. soit une forme d’action… passive…).

John Maynard Keynes disait : « La difficulté n’est pas de comprendre les idées nouvelles, mais d’échapper aux idées anciennes.  »

La question, réelle ?… Et si on se mettait en action, ce serait comment ?

 

Comme des poissons dans l’eau

La force du groupe

Par Emmanuel DEHEE

Ouvéa_13_008.jpg J’ai passé beaucoup de temps en Nouvelle-Calédonie, à nager seul dans un lagon magnifique, à Ouvéa (25 km de sable blanc…) parmi les bancs de poissons… ils sont là, à 50 cm de votre main… des centaines de poissons… peut être des milliers… mais il vous est impossible de les toucher… Tendez la main… un trou s’est formé dans le banc… votre main passe sans problème… sans jamais pouvoir toucher un poisson… ces fameux 50 cm sont toujours là entre vous et les premiers poissons… et le banc conserve sa cohérence…

 

Adapter sa taille à l’action à réaliser

Un poisson de la taille du banc ne pourrait en aucun cas bouger assez vite pour éviter d’être touché… Sa mise en mouvement est globale, son adaptation au petits évènements est délicate et prend du temps

Et si le banc conserve sa cohésion… c’est parce que chaque individu a la certitude que cette appartenance au groupe est sa seule chance de survie… La taille du banc lui donne une capacité d’action aussi importante, voire plus importante qu’un seul gros individu, tout en lui assurant une réactivité, une rapidité et une adaptabilité bien supérieure, surtout dans de petits espaces.

Le requin gris est un prédateur… mesurant de 2 à 3 m… Il est rapide, agile et puissant, mais pas très adroit… les poissons qu’il chasse sont petits, agiles et … malins?… Un requin seul n’a quasiment aucune chance d’attraper un mérou camouflage… pour plusieurs raisons… le mérou porte une tenue de camouflage… et lorsqu’il est touché par un requin, il se comporte comme une algue… s’il réagissait et tentait de s’enfuir, il serait détecté… Une des autres raisons, c’est que le requin est agile,… pour un individu de 3m… Le mérou est agile, mais mesure 50 à 70 cm… il peut donc facilement jouer sur des manœuvres d’évitement pour échapper au prédateur géant, car jouant dans un espace trop petit pour le requin… Le prédateur, que l’on perçoit plutôt comme un solitaire s’est donc adapté :  en groupe, les requins fondent en nombre dès qu’une proie est détectée… celle-ci n’a plus d’échappatoire possible, le mérou se sauve d’une gueule pour se jeter dans une autre. En groupe, les requins gris parviennent donc à manger… tous ne mangent pas tous les jours, mais suffisamment.

Le mérou vit également en groupe… mieux que ça… les mérous camouflage de Fakarava (polynésie) ne pondent qu’une fois par an, une nuit de pleine lune. Il se rassemblent alors par dizaines de milliers pour pondre ce même jour… le but ? les prédateurs, face à la quantité d’œufs expulsés au même moment, ne peuvent tous les dévorer… c’est donc la meilleure façon de sauver un maximum de leur progéniture potentielle… et de perpétuer l’espèce…

Les leçons à en retenir ?

« Si nous prenons la nature pour guide, nous ne nous égarerons jamais » (CICERON)

Prédateurs, proies… dans la nature, dès lors que la survie individuelle devient difficile ou compromise, l’issue est le collectif ou la disparition…

La prétention humaine, propre aux être supérieurs que nous pensons être, nous pousse toujours vers un peu plus d’individualisme et de profit personnel… A croire que seuls, nous valons mieux qu’à plusieurs… nous en oublions notre rôle dans le groupe et nous étonnons sans cesse que cela ne fonctionne pas… ou plus…

« Le succès est un mauvais professeur : il pousse les gens intelligents à croire qu’ils sont infaillibles. » (Bill Gates)

 

Nous sentons nous suffisamment en danger pour avoir envie de partager ? pour co-construire ? Sommes nous prêts à prendre le risque de partager nos succès, et plus seulement nos défaites? Bien sûr, on a toujours peur de perdre… mais la peur de perdre empêche de jouer, et donc de gagner. Alors pourquoi ne pas donner ce que l’on partage… En toute confiance… Car ce que j’ai donné, je ne peux le perdre, on ne peut me le prendre…

La vocation de Coach-Manager, aujourd’hui, c’est de nous rappeler au quotidien la force du groupe… d’être le lien de ce banc de poissons… Permettre une action coordonnée et efficace en tout point de l’hexagone, voire plus loin encore… et comme cette action doit pouvoir être mise en place rapidement, être adaptée et réactive, nous sommes tous indépendants, autonomes et responsables au sein du groupe, liés par les mêmes convictions et le même état d’esprit.

Cette co-construction mise en œuvre au quotidien pour nous, nous en faisons aussi bénéficier nos clients. Chaque jour.

 Et si demain était le premier jour de la confiance ?

 

 

 

 

Des croyances limitantes?… Moi?…

Croyances limitantes et coaching

par Erik DUFOUR

Nos croyances ou nos convictions sont des réalités sur lesquelles nous nous focalisons dans un seul but : nous convaincre que nous avons raison. On distinguera les  croyances limitantes des croyances ressources, et il est essentiel de les identifier. Le coach aide à cette conscientisation,  pour dépasser les limitantes et exploiter les  ressources.
La métaphore du Koala (Max Meulemans, MCC – Coaching Ways):
Un Koala adulte se voit proposer une mutation géographique (c’est bien une métaphore…) après un parcours professionnel exemplaire mais ayant toujours été basé dans les mêmes bureaux de son entreprise.Il refuse cette opportunité de progression associée à ce changement d’environnement (une mobilité géographique est nécessaire), car il ne souhaite pas être mobile, il n’aime pas cette idée de devoir changer de cadre de travail.
Derrière ce refus, ce cache une croyance limitante dont le mécanisme est le suivant :
Koala asleep in tree
  • Jeune, notre Koala vivait paisiblement dans la brousse entouré des animaux dont il avait appris à se méfier ou qu’il côtoyait. Il passait beaucoup de temps à observer son éco système de son arbre favoris.
  •    Un jour, une gazelle qui broutait paisiblement sous lui ressenti la présence du prédateur comme notre petit Koala. Elle pris peur et se mit à détaler. Malheureusement elle ne fut pas assez rapide et la lionne s’en saisi avec une brutalité et une soudaineté qui fut inattendue pour notre petit Koala. Ce fut sa première confrontation avec la réalité de la vraie vie.
  • Pour surmonter cet événement inattendu autant que cruel, il chercha à lui donner un sens : « Voilà ce qui arrive quand on bouge !» fut sa façon de surmonter la douleur de voir disparaitre sous ses yeux la gazelle.
  • Il en tira une conclusion qu’il généralisa pour ne plus souffrir de cette situation : « Moins on bouge, mieux c’est ! »
  • Devenu adulte, notre Koala qui avait grandi avec ce traumatisme, avait en lui une croyance limitante dont l’origine se situait dans on jeune âge : « Je n’aime pas me déplacer »
La croyance est limitante, car elle impose, dans le cas présent, une conduite qui apparaît comme irrationnelle au regard d’une situation de «mutation géographique» qui n’a plus rien à voir avec l’attaque de la gazelle par la lionne.Cette croyance devient un obstacle à l’atteinte d’un objectif.Le travail avec le coach va permettre d’identifier la croyance (mais pas d’en rechercher les explications qui sont laissées au thérapeute) afin de prendre conscience qu’elle est surmontable dans un contexte différent.
Le coaching a cette puissance, reconnue par celles et ceux qui l’on vécu en tant que coaché, de permettre de surmonter les limites que nous nous fixons.La bienveillance du coach, le respect de son client en tant qu’expert de sa vie, ne lui ôte cependant pas la faculté de n’avoir aucune complaisance avec les « problèmes » de ses clients.Le coaching est confrontant, c’est par ce processus dont le coach est garant que ses clients avancent vers l’objectif qu’ils se sont fixés.Et vous, avez-vous conscience de vos croyances limitantes, celles qui minent votre quotidien?Et… si vous en parliez à votre coach?…

Etre un « vrai » Manager aujourd’hui

Etre un « vrai » Manager aujourd’hui

Par Christine DELEBARRE
La raison d’être du manager, c’est de créer du lien avec et entre les femmes et les hommes de leur équipe
Un enseignant-chercheur fait le constat suivant : « Dans l’entreprise actuelle, il y a de moins en moins de manager sachant Lire la suite

Pour que vos hommes restent motivés, retirez-leur les primes…

Question de motivation

Par Emmanuel DEHEE

Si vous voulez que vos hommes restent motivés, retirez-leur les primes…
Telle est, en substance, la conclusion d’un chef d’entreprise qui s’étonnait de ne pas parvenir à conserver ses employés, alors qu’il les payait mieux et leur offrait de meilleurs restaurants que son principal concurrent, chez qui ils allaient tous… Lire la suite

Responsabiliser ses salariés : complexité inutile, ou …

Responsabiliser ses salariés :  complexité inutile ou bon moyen d’augmenter la performance de l’entreprise ?

Par Patrick BAILLEAU, Coach-Manager, Directeur de PB Croissance

Nombre de dirigeants de PME se sont essayés à la responsabilisation. Pour beaucoup, cela s’est surtout traduit par Lire la suite

Former ET Coacher le management

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Former ET Coacher le management

Par Gilles CAILLET, Coach-Manager

Sphère professionnelle ou sphère privée, notre époque nous pousse à nous adapter sans cesse. Dès qu’intervient un changement ou lorsqu’une lacune est détectée, il faut réagir rapidement sous peine de nous laisser distancer. L’entreprise attend de son management qu’il s’adapte ou corrige le tir sans tarder : compétitivité oblige, il doit être et rester performant.  Or, le management n’est pas qu’une qualité “innée”, mais aussi un ensemble complexe de techniques et de comportements que l’on peut acquérir et consolider par la formation. Certains affirment que le management ne s’apprend que sur le tas. C’est faux !

L’entreprise demande au manager de posséder des qualités humaines car, dans tout changement, la dimension technique est rarement celle qui pose problème. Le plus souvent, les difficultés naissent de la dimension relationnelle, effet des incompréhensions, des peurs et des craintes ressenties par les équipes. Le manager, c’est l’homme-orchestre : l’entreprise attend de lui qu’il sache par exemple, communiquer avec empathie avec ses collaborateurs, faire preuve de confiance en lui dans les réunions, rassurer dans les moments d’inquiétude ou être capable de bien gérer ses émotions au cours d’une négociation, mais également qu’il pose les règles, soit l’exemplaire gardien du temple, l’organisateur infaillible et…

L’objectif premier de l’entreprise est d’assurer sa rentabilité. Et celle-ci passe par le niveau d’autonomie, d’implication, d’organisation, de réactivité de ses équipes. C’est pourquoi elle prend beaucoup plus en compte le climat social et l’évolution des ressources personnelles de ses salariés. L’entreprise a compris que ce sont les hommes qui font ou défont sa richesse.  Des collaborateurs épanouis sont des collaborateurs performants.

Aujourd’hui, à l’heure d’internet, les délais sont compressés. Les changements, et surtout leur vitesse de diffusion et d’intégration, sont multipliés. Tout va toujours plus vite et toujours plus fort. Est-il encore possible de « laisser le temps au temps » sans prendre le risque de voir la situation se détériorer et pénaliser, voire couler l’entreprise ? Le savoir-faire du manager nécessite des mises à niveau régulières car les technologies évoluent très vite. Le savoir-faire et le savoir-être du manager nécessitent des mises à niveau régulières car les Hommes évoluent très vite. C’est son savoir-être qui donnera toute sa dimension à son savoir-faire. Pour accompagner la formation (dimension technique et relationnelle) le recours au coaching permet, grâce à un recul neutre et objectif, de maintenir au meilleur niveau le savoir être du manager.

L’entreprise doit avoir des managers formés. Elle doit aussi leur proposer des solutions de « mise à jour » régulières et contextualisées, par le biais du coaching et de la formation complémentaire, afin de leur permettre d’imaginer avec succès les solutions aux problèmes de demain.

…Rien ne prédispose plus au conformisme que le manque de formation…

(Gustave THIBON)

Comment gérer la crise?

Des constats

Lors de mes différentes missions, je rencontre tous types de profils de sociétés. Certaines sont très impactées par la crise, d’autres moins… mais celles qui marchent bien ne sont pas forcément là où l’on s’attendrait à les voir…

En effet, personne n’est à l’abri d’avoir une entreprise qui fonctionne bien et atteint ses objectifs, même Lire la suite